Dans une décision qui a attiré l'attention et suscité des inquiétudes internationales, Sergei Mingazov, un journaliste pour l'édition russe de Forbes, a été placé en résidence surveillée par un tribunal russe. Les accusations portées contre Mingazov découlent d'une publication sur les réseaux sociaux en 2022, dans laquelle il discutait des crimes de guerre présumés de la Russie dans la ville ukrainienne de Bucha. Cette action s'inscrit dans une répression plus large de la dissidence en Russie, ciblant particulièrement les individus et les médias accusés de diffuser des "fausses informations" sur l'armée russe.
L'arrestation de Mingazov met en lumière les risques croissants auxquels sont confrontés les journalistes en Russie, qui opèrent sous le joug de lois strictes criminalisant la diffusion de ce que le gouvernement considère comme des "fausses nouvelles" sur ses opérations militaires. Ces lois ont été critiquées par des organisations internationales de défense des droits de l'homme comme des outils visant à réprimer la liberté d'expression et à faire taire l'opposition.
L'affaire contre Mingazov a été rapportée par divers médias internationaux, dont RIA Novosti et Politico, soulignant la préoccupation mondiale concernant le…
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